LABO PARTY, BRATCHLAND FESTIVAL, JUIN 24 / AURILLAC FESTIVAL, AOUT 24 avec le soutien du collectif La Toulousaine, l’association AMLET et la cie CLAAP.
<< Un soir de pleine lune Se dessine parmis les ombres Une étrange scène La lumière rouge éclaire les personnages qui autour d’une table posée là, — se font des révélations — On entend vibrer en dedans Les beats et les bêtes Une sono qui déborde Et dans la nuit Les esprits s’abreuvent Les corps s’émeuvent Des flashs Des projecteurs De la sueur De la bière coule à flot Des pissotières saturées Des nuages de fumée La fête nous à révélée >>
La création argentique intervient comme un prétexte à l’interaction, répond au hacking quotidien, dans la fête, à un décloisonnement de milieux. LABO PARTY réalisé durant le festival d’Aurillac, au sein du collectif d’art de cirque et de rue La Toulousaine, est une expérience explorant les liens entre création analogique, interaction sociale et rituel collectif in situ. La fête.
Le laboratoire de développement est une bulle éclatée au sein d’un espace étranger, au beau milieu d’un festival, durant 4 jours. Point de chute d’un développement d’épreuves et de liens, avec la prise de risque d’une révélation aussi foireuse qu’inédite, mais ultime trace d’un processus alchimique détournant fluides urinaires et ivresses en création d’une mémoire collective insitu. Les pellicules utilisées sont des restes de microfilms vierges, périmés depuis les années 80, en 20 ISO, déchets des archives de France, utilisés pour photographier une histoire d’aujourd’hui dans la nuit.




















